jeudi 29 octobre 2015

Le 7eme péché d'Olivier Kourilsky - Editions Glyphe

**** Chronique de Jess ****

Christian Arribeau, jeune médecin ambitieux et pétri d'orgueil, a planifié sa carrière pour accéder aux plus hautes fonctions, balayant tous ses concurrents. Il vient de franchir la dernière étape avant sa nomination comme professeur de néphrologie. Mais, alors qu'il sort discrètement d'un immeuble, il renverse un clochard qui s’est jeté sous ses roues. Paniqué à l'idée des conséquences sur sa carrière et persuadé que personne ne l'a vu, il prend la fuite. Commence alors une vertigineuse descente aux enfers, orchestrée par l'obstination d’un policier et l'intervention d’un témoin mystérieux aux motivations obscures. S'agissait-il d'un banal accident ou d'une machination ? Et dans ce cas, qui tire les ficelles ? L'univers bien organisé et la belle assurance d Arribeau vont s'écrouler comme un château de cartes.




J’avais beaucoup aimé « Homicide par précaution » et c’est avec plaisir que j’ai ouvert le petit dernier d’Olivier Kourilsky car je me doutais que j’allais passer un bon moment.

Dans ce nouveau polar, nous rencontrons Christian un médecin néphrologue qui a tout pour se faire détester. Et encore plus quand il renverse et tue un pauvre SDF et s’enfuit sans se retourner. Mais on va vite comprendre qu’il est victime d’une machination. Mais quand on est détesté de tous comment trouver le coupable ?

Je ne me suis pas ennuyée une seconde en lisant le 7ème pêché, c’est bien écrit, ça se lit tout seul et au moins il y a de l’intrigue ! Même si j'avais deviné la fin ;-) 

J’aime aussi le fait que l’histoire se passe dans un environnement médical, sûrement car j’y ai travaillé ça nous change d’autres polars.

Il se lit vite car peu de pages donc seul défaut car j’aurais aimé qu’il dure un peu plus ;-)
Je pense qu’il aurait fallu que je les lise dans l’ordre de parution par contre car il y a des références à une autre affaire et ça m’agace quand je n’ai pas lu les autres.


Je vous conseille vivement cet auteur.

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